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Un homme proche de ses ouvriers
Il ne vivait que pour les principes et la générosité anonyme.
Louis Burnod, lui dit un jour : « Coquelle philanthrope devrait pourtant penser à Coquelle homme politique ! », il ne répondit que : « Non, je ne m’y ferait jamais ».
Il trouvé son mandat parlementaire beaucoup trop banal et factice.
Pour lui, sa place, son ambiance favorite, c’était la mer et l’activité maritime.
C’était un travailleur qui se mêlé volontiers à ses ouvrier pour les aider.
il l’a fait savoir plus d’une fois, non, Félix Coquelle, n’est pas un homme de discours ! « je veux, battre le record de la concision verbale » disait il.
Devant de vieux employés du port il disait un jour : « quoi de plus suave d’ailleurs que de pénétrer ses collaborateurs, de connaître leur besoins, leurs souffrance aussi ! d’en tenir compte par humanité un peu plus que la froide logique des chiffres brutaux le voudraient peut être ! et de lire dans le regard de chacun la joie de travailler et de vivre selon les lois les plus hautes de la conscience car, entre nous soit dit, rien ne peut empêcher un homme, à quelque degré de l’échelle sociale que le hasard l’ait placé de connaître les douceurs ineffables du sublime. »
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